La moitié de l’empreinte carbone d’un français provient des importations. La mondialisation a eu pour effet de délocaliser nos usines et les emplois mais aussi nos émissions de GES. Les règles du commerce international sont aujourd’hui un point de blocage majeure à toute avancée structurante dans la transition écologique et sociale. Entre repli sur soi et le libre-échange sans règle, il existe une troisième voie, celle du juste-échange. Une chose est sure : on n'arrêtera ni le dérèglement climatique ni l’effondrement de la biodiversité ni l’accroissement des inégalités sans réguler la mondialisation.
[Replay] Débat : Comment garantir un avenir aux agriculteurs tout en protégeant l'environnement ?